Ce lundi 25 novembre est celui de la journée internationale de lutte contre la violence faite aux femmes. Zoom sur The Sorority, cette application réservée aux femmes et aux minorités de genre qui propose de leur...
Nouvelles tensions avant le Salon de l'Agriculture. L'événement annuel, qui ouvrira ses portes au public à Paris le samedi 24 février, est l'occasion pour plusieurs collectifs d'agriculteurs de faire à nouveau pression sur l'exécutif. Plusieurs mobilisations ont eu lieu au cours du week-end, et ce lundi 19 février, principalement devant des préfectures.
Les revendications
Les agriculteurs attendent de nouvelles mesures concernant notamment leurs revenus, les accords de libre-échange ou encore l'usage des pesticides. Une partie des agriculteurs, notamment les éleveurs de moutons, s'estiment en outre lésés par les mesures déjà prises. " On sera mobilisés avant, pendant et après le Salon. C'est un moment important, mais toutes les choses ne vont pas se régler là", a lancé Laurence Marandola, porte-parole de la Confédération paysanne, au micro de BFMTV.
Premières victoires
Les fortes mobilisations du mois de janvier, notamment des blocages routiers en France et particulièrement autour de la capitale, ont conduit le gouvernement a proposer un plan d'urgence. Gabriel Attal a ainsi promis une enveloppe d'aides de 400 millions d'euros. Le Premier ministre a en outre annoncé :
- un renforcement des lois permettant de protéger les revenus des agriculteurs (lois Egalim)
- un allègement des droits de succession pour attirer les jeunes générations
- l'abandon d'une hausse de la taxe sur le gazole non routier
- des mesures de simplification administrative
- la suspension provisoire d'un plan sur les pesticides (Ecophyto)
L'exécutif tente à nouveau de calmer le jeu
Arnaud Rousseau, le patron de la FNSEA, l'un des principaux syndicats d'agriculteurs doit être reçu mardi 20 février par le président de la République, avec les représentants des Jeunes agriculteurs.