De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Guerre en Ukraine, forte inflation… La France fait désormais face à de nombreuses menaces financières susceptibles de perturber son économie. Un nombre important d’entre elles pourraient d’ailleurs peser sur le budget des Français et des Français. Les épargnants, indique Dossier Familial sur son site, ont largement matière à s’inquiéter. Et pour cause ! Tous les placements ne sauraient continuer à rémunérer leurs titulaires en des périodes aussi troublées que celles aujourd’hui constatées. C’est le cas de l’essentiel des livrets bancaires, qu’il faut aujourd’hui éviter autant que faire se peut. Rémunération trop faible, intérêts soumis à l’impôt sur le revenu ainsi qu’aux prélèvements sociaux… Ils présentent, aujourd’hui, assez peu d’avantages.
Le livret A ainsi que le Livret de développement durable et solidaire sont déjà plus intéressants… du fait notamment des avantages fiscaux qu’ils proposent. En effet, ils permettent tous deux de récupérer sans mal les sommes placées, profitent d’une sécurité de gain presque totale (exception faite du manque à gagner engendré par l’inflation) et les gains sont intégralement défiscalisés. Seul le taux de rendement pêche : il est trop faible pour protéger vos économies de l’inflation.
Epargne : quels sont les placements assez sûrs pour lutter contre la guerre en Ukraine et l’inflation ?
Fort heureusement, plusieurs produits d’épargne permettent de se protéger contre l’inflation et les hausses que la guerre en Ukraine est certaine d’engendrer, rappelle l’économiste Philippe Crevel sur le plateau de BFMTV. D’après lui, c’est le “moment d’opportunité” pour acheter des actions dans certains des secteurs les plus malmenés par la crise ; notamment sur les énergies par exemple. C’est loin d’être la seule piste envisageable, ceci étant. Il existe, de fait, plusieurs autres valeurs refuge…
Epargne : quelles valeurs refuges face à l’Ukraine et l’inflation ?
Plusieurs valeurs refuges se démarquent d’ores et déjà, informe Marc Touati, économiste, dans les colonnes de Dossier Familial. Et lui d’évoquer les métaux précieux, tels que l’or, ou les obligations indexées sur l’inflation.
Force est de constater, en effet, que le cours de l’or flambe depuis le début de la crise ; comme l’explique 20 minutes. L’once dépassait récemment les 2 000 dollars. Les obligations, quant à elles, sont des titres émis par les Etats et les entreprises visant à financer leur dette.
Si aucun de ces deux placements ne vous intéresse, sachez qu’il existe d’autres alternatives.
Assurance-vie, PEL… De tels placements peuvent-ils survivre à l’inflation ?
Plusieurs autres placements pourraient s’avérer efficaces contre l’inflation observée déjà avant la guerre en Ukraine et désormais renforcée par le conflit. C’est le cas des anciens plans d’épargne logement (PEL), dont les rendements peuvent osciller entre 1,5 et 2,5 % en fonction de la date d’ouverture, rappelle Dossier Familial.
De la même façon, l’assurance-vie (tant en fonds euros qu’en unités de compte) peut représenter un bon parti, détaillent nos confrères. Les rendements sont sécurisés, mais demeurent malheureusement de plus en plus faibles dans le premier cas. Le second scénario apparaît donc plus porteur… en dépit de certains rebonds.