De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Celle-là, personne ne s'y attendait ! Lucie Lucas est une artiste engagée. Celle qui campe le rôle principal de la série de TF1, Clem, depuis 2009 défend ardemment ses convictions. Cela fait plusieurs années que l'actrice clame haut et fort un discours écologiste. Des valeurs que la belle brune porte également sur le plan politique. La comédienne de 35 ans est en effet inscrite sur la liste Bretagne ma vie, conduite par Daniel Cueff dans le cadre des élections régionales. "Bienvenue Lucie Lucas. La dynamique monte autour de 'Bretagne ma vie', l’espoir est permis pour la victoire en juin !", s'est réjoui le candidat écologiste sur son compte Twitter.
Depuis 2018, Lucie Lucas a élu domicile dans les Côtes-d’Armor (Bretagne) avec ses trois enfants. La comédienne y a fait construire une micro-ferme en permaculture, dont elle a ouvert les portes en 2020 aux équipes de 50' inside, et qu’elle tient avec son époux Adrien. Un homme qui soutient d'ailleurs sa dulcinée dans son combat en faveur de l'environnement.
Lucie Lucas se met "à poil" pour les agriculteurs bio
Sur ses réseaux sociaux, la maman de Lilou, Moïra et Milo, lance ponctuellement des appels dans le but de sensibiliser ses 418 000 abonnés aux enjeux environnementaux et sociaux quitte à employer les grands moyens. Ce mercredi 2 juin, alors que les "agriculteurs bio manifestent aujourd’hui à Paris et dans chaque département pour dénoncer les propositions discutées dans le cadre de la nouvelle PAC (la Politique Agricole Commune) et qui mettraient #LaBioAPoil", Lucie Lucas a frappé un grand coup. Pour afficher son soutient aux professionnels du secteur, l'actrice a publié une photo où elle apparait complètement nue au milieu d'un champ brandissant une pancarte "en moyenne -66% d'aides par an". Le moins que l'on puisse dire s'est que Lucie Lucas n'a pas froid aux yeux puisque les herbes hautes ne cachent en rien ses parties intimes.
En légende de son post, l'artiste engagée n'hésite pas à interpeller directement le ministre de l'Écologie, Julien Denormandie auquel elle reproche d'avoir récemment "présenté des renoncements irresponsables pour l’emploi agricole, l’environnement et la prise en compte des attentes sociétales. Résultat des courses : les agriculteurs qui ont choisi un modèle agricole sans pesticide ni engrais de synthèse (et qui améliorent tous les jours la biodiversité, le climat et la santé) vont perdre en moyenne 132€ par hectare et par an, c’est à dire en moyenne 66% de leurs aides ! De quoi mettre le bio complètement à poil… et décourager toute transition agroécologique par la même occasion", écrit-elle visiblement remontée contre le gouvernement dont elle précise avoir "honte".