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Yahya Boumedienne, le fiancé de Marion Bartoli
Ce 9 novembre, l’ancienne championne de tennis Marion Bartoli a annoncé ses fiançailles avec le footballeur belge Yahya Boumedienne via son compte Instagram. Une publication où la jeune femme de 35 ans dévoile sa bague de fiançailles avec en légende : “Forever yesssssssssss!!!!!! Un des plus beau jour de ma vie !! Je suis tellement heureuse et émue de devenir ta femme mon amour !! J ai hâte de passer le reste de ma vie à tes côtés, à t’aimer, t’encourager, prendre soin de toi. La 1ere fois où je t’ai vu, je savais que notre histoire serait exceptionnelle. JE T AIME MA VIE”, a-t-elle écrit.
Une annonce qui n’a pas manqué de réjouir ses quelque 34 000 fans sur Instagram : “Toutes nos félicitations Marion et tous nos vœux de bonheur”, “Félicitations !! Vous êtes magnifiques tous les deux ! Plein de bonheur’ ou encore “Félicitations Marion à vous deux reste comme tu es une jeune femme souriante et une battante”, peut-on lire en commentaire.
Dans son livre intitulé Renaître, l’ex-tenniswoman Marion Bartoli s’est confiée sur son ancienne relation perverse et toxique avec un banquier britannique qu'elle appelle D. dans son livre. De cette relation, la jeune femme de 35 ans n’en garde qu’un souvenir néfaste : humiliation et perte de 23 kilos en quatre mois. Une relation qui lui a presque coûté la vie.
“Au départ, tout va bien, il est gentil, charmant, mais je me suis retrouvée au quotidien avec quelqu'un qui trouvait que tout ce je faisais c'était pas bien. Et, le plus humiliant, c'est que dans le salon, il y avait des photos de lui avec ses ex et moi j'étais relayée dans la cuisine”, avait-elle confié dans l’émission Sept à huit en février dernier. Attaquée constamment sur son physique, l’ex-gagnante de Wimbledon perd progressivement confiance en elle : “C'est terrible pour une femme. On passait dans la rue, il y avait une fille qui était plus grande, plus mince, il faisait des réflexions. Je me suis retrouvée avec quelqu'un qui m'a cassé toute la confiance que j'avais construite. J'étais sous son emprise totale à tel point que mes parents ne me reconnaissaient pas… j'étais totalement anéantie en tant que personne que je ne vivais que pour lui faire plaisir”.
Une relation avec un pervers narcissique qui lui a fait atteindre le pallier des 41 kilos : “C'est plus la comparaison avec les autres filles dans la rue qui était profondément méchante. J'étais docile, je me disais : 'Ah oui oui, peut-être qu'il a raison. Peut-être que je devrais maigrir, etc.'. (...) Je lui trouvais toutes les excuses du monde (...) Il était radin à un point juste inimaginable ! Il prenait les billets d'avion sur les compagnies aériennes les plus low-costs de chez low-cost et il me demandait de payer les hôtels cinq ou six étoiles, a-t-elle confié à nos confrères de Purepeople.
Finalement, le couple se sépare à la fin de l’année 2015 : “Modestement, ce livre est aussi un message adressé à toutes les femmes qui souffrent dans leurs relations amoureuses, les humiliées, les rabaissées, les stigmatisées. J'espère que ces lignes vous donneront de la force. Ma triste expérience tend la main à votre solitude et je vous entends déjà dire STOP”, a-t-elle conclu dans son autobiographie Renaître, paru en avril 2019.
Walter et Marion Bartoli : une relation fusionnelle entre père et fille
Entre Marion Bartoli et son père, c’est l’histoire d’une relation fusionnelle aussi bien heureuse que douloureuse. Dès son plus jeune âge, le père de Marion Bartoli quitte son emploi de médecin pour se consacrer entièrement à sa fille Marion et à sa passion pour le tennis. Un investissement personnel et financier : “Mon père m'a mis devant mes responsabilités très jeune. Je connaissais au centime près combien il dépensait d'argent pour moi (...) Ma maman dépendait des réserves financières de mon papa et moi aussi (...) et, lorsque vous êtes junior, vous ne gagnez pas d'argent alors j'avais trois ans pour réussir et passer au minimum dans le top 100 mondial”, rapportent nos confrères de Purepeople. Pour devenir la meilleure, Marion Bartoli se devait de suivre un programme intensif concocté par son père. Attachée à un élastique relié à lui, elle s'entraînait du matin jusqu’à 23h. Cette dernière ne s’arrêtait de taper dans la balle que lorsque ses pieds étaient en sang.
Afin de mener à bien son projet, Marion et son père quittèrent leur famille pour partir s'entraîner en Suisse où la jeune fille vivait “en autarcie, sans aucun lien social que celui qu’elle avait avec Walter”. Celui que l’on surnomme “docteur maboule” sur les courts de tennis atteint finalement son objectif en 2013 lorsque sa fille gagne le tournoi de Wimbledon. Bien que la star a pris sa retraite, elle reste toujours très proche de son père : “Je continue à prendre conseil auprès de mon papa dans tous les domaines (...) Je continue de faire des entraînements de tennis, parfois avec mon père, et, d'ailleurs, je les adore”, a-t-elle confié en avril dernier à Purepeople.