La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
L’affaire Quesada continue de faire couler beaucoup d’encre. Plus d’un an après son arrestation et son incarcération pour "tentative de corruption de mineur" et "détention et diffusion d'images pédopornographiques", Christian Quesada a brisé le silence. Par le biais d’une lettre rédigée depuis la prison de Bourg-en-Bresse où il est détenu, l’ex-champion des 12 coups de midi s’est adressé à un membre de Touche pas à mon poste.
Il s’agit du journaliste Guillaume Genton qui a réalisé deux documentaires, diffusés en mars et novembre 2019 sur C8, à propos du fait divers. Invité sur le plateau de TPMP le 16 septembre dernier, le réalisateur a lu des extraits marquants de la lettre du détenu, dénonçant notamment un lynchage médiatique de la part de la chaîne.
Si Guillaume Genton rappelle à maintes reprises l’usage de "la présomption d’innocence" dans les reportages, il n’a pas hésité à révéler une sordide anecdote sur la star déchue au cours de son investigation. "Quand vous rencontrez une jeune fille, que vous allez sur son téléphone, que vous voyez sur son compte Twitter que c'est le compte de Christian Quesada qui envoie des photos avec sa fameuse histoire du zizi tordu, euh c’est un peu compliqué", assure le journaliste.
"C'est une histoire qui était toujours la même"
Une indiscrétion qui a interloqué le chroniqueur Bernard Montiel, souhaitant plus de détails sur cette sombre histoire. Selon le réalisateur Guillaume Genton, Christian Quesada aurait fait usage d’un horrible stratagème pour leur envoyer une photo de son pénis tordu après une mauvaise chute. "C'est une histoire qui était toujours la même. C'était un prétexte pour envoyer des photos de son sexe à des jeunes femmes", a-t-il précisé. À noter que plusieurs plaignantes avaient relaté le même récit à propos de l’ex-champion, qui avait tenté d'entrer en contact avec les victimes présumées sur les réseaux sociaux.