271 000. C’est le nombre de victimes de violences conjugales en 2023, soit une hausse de 10% en un an en France. Voici les départements particulièrement concernés.
Depuis le 12 avril dernier, l'acteur Benoît Magimel est en attente la décision du tribunal correctionnel de Paris quant à la sanction qu'il recevra suite son interpellation du 11 mars dernier. En effet, l'acteur avait renversé une femme de 62 ans à Paris alors qu'il roulait sans permis de conduire et sous l'emprise de la cocaïne. Si le parquet a requis à son encontre une amende de 5000 euros et la suspension de son permis de conduire, la justice délivrera son verdict final le 24 mai prochain.
Quoi qu'il en soit, trois jours avant son interpellation, Benoît Magimel s'était confié dans les colonnes du magazine Néon sur son adolescence et ses premières expériences avec la police... "Quand t’as pas beaucoup d’argent et que t’essaies de t’en sortir, tu deviens un peu filou. À force de traîner, t’es témoin de plein de choses, c’est une expérience, tu deviens vite débrouillard. Je me suis déjà fait embarquer à 13 ans pour avoir été un “mineur en danger moral”. C’était le grand truc des années 1980 : si t’étais mineur et que tu te faisais choper à Paris dans la rue après minuit, les policiers t’emmenaient." explique-t-il.
Ainsi, l'acteur fraîchement césarisé pour sa performance d'éducateur spécialisé dans le film La tête haute d'Emmanuelle Bercot, avoue avoir dormi plusieurs fois en cellule... "Quand tu es blond aux yeux bleus, c’est plus simple d’aller dans un magasin pour voler des bombes de peinture. Mes potes m’utilisaient pour faire diversion. J’ai toujours joué de ce côté angélique qui n’était pas réel." Après son récent épisode de garde à vue, espérons que l'acteur saura éviter les ennuis à l'avenir.
A VOIR - Benoît Magimel : Ses troublantes confidences