
Dans la nuit du 25 ou 26 octobre prochain, il faudra reculer nos montres d’une heure. Notre rythme circadien et notre horloge biologique peuvent en être chamboulés. Comment retrouver facilement votre équilibre...
Une “drache” monumentale ! s’exclamerait-on dans le Nord ou en Belgique. “Cela fait 25 ans que la France n’avait pas connu un mois de septembre aussi pluvieux”, indique un bulletin de Météo-France paru le 30 septembre. Dans le détail, l’organisme météorologique enregistre un “ excédent pluviométrique de près de 60 % par rapport aux normales 1991-2020”.
La quasi-totalité de l’Hexagone est concernée par ces précipitations abondantes, à l’exception du sud de la Bretagne, ainsi que du Languedoc-Roussillon où les pluies ont atteint un niveau inférieur aux moyennes constatées habituellement.
A l’inverse, les précipitations étaient particulièrement fortes en Nouvelle-Aquitaine, dans le Massif central, le bassin parisien, les côtes de la Manche ainsi que les Alpes du Nord et le nord de la Corse.
Cette situation pourrait se révéler préoccupante dans la mesure où ces pluies diluviennes de septembre interviennent après des mois eux aussi plus pluvieux que la normale. Ainsi, “sur environ 20% du territoire”, les relevés pluviométriques indiquent que depuis le début de l’année, les stations ont “déjà mesuré plus de pluies depuis le début de l'année qu'elles n'en reçoivent habituellement sur une année entière.” C’est le cas en particulier à Paris, à Strasbourg, à Beauvais, au Mans, à Blois, à Nancy, à Clermont-Ferrand et à Nice.
La situation ne semble pas en passe de se calmer. Dans un autre bulletin publié ce mardi, l’organisme met en garde contre des risques d’inondation dans 12 départements.