SociétéAssurance chômage: ces nouvelles règles pénalisantes pour les seniors
De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Les derniers mois ont été marqués par une série de passages pluvieux en France. Que nous réserve l'été 2024 qui débutera le 20 juin ? Voici les principales prévisions météorologiques pour les mois à venir.
L'influence des phénomènes El Niño et La Niña
Les conséquences du cycle d'El Niño et La Niña n'ont jamais été prouvées avec certitude en Europe. Mais d'après le site d'information scientifique Futura, depuis l'automne 2023, l'Europe de l'Ouest, y compris la France, a connu un temps typique d'une année El Niño : "très perturbé, très humide, très venté et plutôt doux".
La Niña, contrairement à son homologue, entraîne un refroidissement des eaux de surface de l'océan Pacifique. Selon La Chaîne Météo, les modèles climatiques prévoient des températures supérieures aux normales dans l'océan Atlantique nord, ce qui pourrait favoriser un été chaud en Europe de l'ouest.
Elle devrait officiellement débuter entre juillet et septembre dans l'océan Pacifique. Les conséquences en Europe de l'Ouest, s'il y en a, ne se feront pas sentir avant la fin de l'été.
Selon les prévisions des météorologues, l'année 2024 pourrait être presque aussi chaude que 2023, avant une éventuelle baisse des températures liée à La Ni ñ a l'hiver suivant. Le retour de ce phénomène pendant l'été pourrait intensifier l'activité cyclonique dans l'Atlantique Nord, avec une augmentation prévue de 70 % par rapport à la normale statistique, indique La Chaîne Météo.
Aura-t-on un été 2024 sans période de sécheresse ?
La sécheresse avait marqué l'été 2023, avec un déficit en eau persistant dans de nombreuses régions françaises jusqu'à la mi-octobre. Cependant, les derniers mois ont apporté un changement significatif. Entre-temps, les conditions météorologiques se sont révélées très pluvieuses sur une grande partie du territoire français, permettant ainsi une recharge des nappes phréatiques.
Vidéo du jour
Selon les données de Météo-Paris, au 1ᵉʳ avril 2024, 58 % des nappes du pays se situaient au-dessus de la norme, tandis que 15 % étaient dans les normales et 27 % en dessous. C'est une nette amélioration par rapport à la même période en 2023. Malgré cette tendance positive, les météorologues, certaines régions comme le Roussillon, l'Aude et l'ouest de l'Hérault affichent encore des niveaux bas, en raison de pluies moins abondantes que dans le reste du pays.
