Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
Jean-Jacques Bourdin fait son mea-culpa. Le dimanche 24 mai, le célèbre journaliste de 70 ans a été arrêté par les gendarmes de Saint-Flour sur une autoroute dans le Cantal, d’après les informations du journal La Montagne ce mercredi 27 mai.
Après ce long week-end de l’Ascension, l’animateur de Bourdin Direct rentrait du Sud de la France par l’A75 lorsqu’il a été appréhendé par les gendarmes du Peloton motorisé (PMO). Toujours selon le quotidien régional, il a été verbalisé pour excès de vitesse, roulant à 186 km/h au lieu de 130 km/h à bord de son Audi A6 limousine. "Son véhicule a été immobilisé, et il a été sanctionné d'une rétention administrative du permis de conduire", précise La Montagne.
En plus de cette infraction au code de la route, qui lui a valu une amende de 135 euros, le journaliste de BFMTV n’a pas respecté la limitation de déplacement des 100 kilomètres autour du domicile. Une des nombreuses mesures dictées par le gouvernement depuis la levée du confinement.
"Excès de vitesse oui et j’assume. Interdiction de déplacement non"
Plusieurs jours après cet incident, Jean-Jacques Bourdin a pris la parole ce jeudi 28 mai pour revenir sur cet écart de conduite très commenté sur les réseaux sociaux. Tôt ce matin, l’époux d’Anne Nivat s’est d’abord justifié auprès de ses détracteurs sur la Toile. "À tous les donneurs de leçons : excès de vitesse oui et j’assume. Interdiction de déplacement non, j’avais même une double autorisation", a-t-il écrit sur Twitter.
Puis dans Bourdin Direct sur RMC, le matinalier a abordé le sujet avec un auditeur en ligne, en toute transparence avec les téléspectateurs. "Je roulais trop vite, j'en suis parfaitement conscient", reconnait-il, en balayant les critiques sur la Toile. "D’abord l'autoroute était absolument vide à l’horizon, il n'y avait pas une voiture. […] Donc je risquais simplement pour moi, j'étais seul dans ma voiture évidement".
Plus loin, Jean-Jacques Bourdin s'est également expliqué sur sa double autorisation de déplacement. "J'en avais deux : une personnelle et une professionnelle", explique-t-il. "Mais je ne vais pas m'étendre sur mon autorisation personnelle parce que ça me concerne et ma vie privée n'intéresse et ne doit intéresser absolument personne".