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C’est une enquête de France Inter qui le révèle. Vladimir Poutine s’adjoindrait les services de Dominique Strauss-Kahn. Sur le fond, l’ancien patron du FMI proposerait son expertise pour "réformer l’économie russe et dynamiser son marché intérieur" explique la radio qui diffuse ce vendredi 12 septembre à 19h30 l’enquête dans son intégralité.
En juillet 2013, DSK a intégré le conseil de surveillance d’une banque russe affiliée à la société d’État pétrolière Rosneft. Ironie, cette société figure sur la liste des entreprises touchées par les nouvelles sanctions européennes.
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Selon France Inter, la nomination de DSK à ce poste nécessite l’aval de Poutine. "On en peut pas avoir un siège dans un conseil d’administration d’une grande entreprise russe sans l’aval du Kremlin" a précisé l'économiste Christopher Dembick à la radio.
Pour Chris Weafer, analyste financier britannique travaillant à Moscou cité par Les Echos, "la nomination de DSK est directement liée aux efforts du gouvernement russe pour trouver une parade aux sanctions".
Or, pendant que l’ancien présidentiable proposerait ses compétences pour atténuer l’impact de ces sanctions résultant de la politique ukrainienne de la Russie, les relations entre les chancelleries occidentales (dont la France) et le Kremlin prennent des airs inquiétants de Guerre Froide.
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