La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Ils n’en croient pas leurs yeux. Depuis son jardin à Beauvais, dans l'Oise, un couple a repéré d'étranges lumières dans le ciel vendredi dernier, peu après 23h30. Emilie et Selim, excités comme jamais, le confirment : ils n’on jamais vu ça.
A lire aussi - Un OVNI aperçu dans une vidéo de la Nasa ?
"Ce n’était pas visible à l’œil nu, souligne Selim dans une des deux vidéos qu'il a postées sur YouTube. Il n’y avait pas d’avion. C’est la première fois que je vois ça". On peut aussi entendre Emilie répéter constamment "c’est bizarre". "Je filmais les étoiles, et j’ai vu qu’il y avait des points qui s’allumaient à droite, à gauche", raconte-t-elle.
Le boîtier Internet aurait été perturbé
Les scintillements ont duré moins de dix minutes. "Il avait cet orbe de couleur orange rouge (trace circulaire pâle, ndlr). Au début, je l’ai confondu avec une naine rouge, une étoile visible entre avril et juin. Mais il y avait des lumières qui clignotaient comme un sapin de Noël, une fois à gauche, une fois à droite", explique Selim dans la séquence.
Une semaine après, le couple, qui n’en revient toujours pas, se pose des questions. "On cherche toutes les explications. Ce n’est pas les lumières de la ville, pas les avions. Les points n’étaient pas stationnaires", assure Emilie, qui s'est confiée, avec son compagnon, au Parisien.
Selim garantit aussi dans le quotidien que leur boîtier Internet a été perturbé pendant ces minutes plus qu’étonnantes.
Ovnis ou pas Ovnis ? Le couple, qui n’a jamais cru en cette théorie des objets volants non identifiés, semble avoir entrouvert la porte à cette croyance. "Avant j’étais sceptique, indique Emilie. Je n’avais jamais rien vu de moi-même. Ça m’a interpellée. C’est par hasard que j’ai filmé ce soir-là car j’aime bien regarder les étoiles. Ce n’est pas évident d’en parler".
La gendarmerie et la police, qui ont été interrogées, n'ont pas vu le phénomène, et ne peuvent donc pas l'expliquer.