La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Bonne nouvelle pour les contribubables. Le gouvernement a décidé de supprimer17 "petites taxes" d'ici 2021. 13 disparaîtraient en 2020 et 4 de plus l'année suivante. Ces impôts "à faible rendement" concernent notamment les permis de conduire, les produits de vapotage, les voyageurs de commerce, les certificats d'immatriculation ou encore les food-trucks.
La suppression de ces taxes représenterait 256 millions d'euros de recettes en moins pour l'État en 2020 et 199 millions d’euros en 2021. Certaines de ces taxes, comme la redevances géothermie ou la cotisation de solidarité sur le blé et l’orge, n'ont jamais rien rapporté à l'Etat, explique 20 Minutes.
Petites taxes : on en compte 192 en France
En 2019, 17 impôts avaient déjà été supprimées par le gouvernement pour un total de 587 millions d'euros. Là encore, il s'agissait de petites taxes, c'est à dire rapportant moins de 150 millions d'euros par an. Selon un rapport de l'inspection générale des finances rendu en 2014, la France en compterait 192, contre 17 en Italie et seulement 3 en Allemagne.
On donne d'une main et on prend de l'autre ? Sous le quinquennat de François Hollande, de nombreux impôts nouveaux avaient été créés. A l'origine de cette politique fiscale, un secrétaire général adjoint de l'Elysée qui deviendra ministre de l'Economie. Son nom : Emmanuel Macron.
L'année 2020 devrait être marquée par des baisses d'impôts s'élevant à neuf milliards d'euros. Sur l'ensemble du quinquennat, le gouvernement s'est fixé un objectif de 27 milliards.