Paul G., 31 ans est accusé d’avoir violé Gisèle Pelicot en 2016. Il a reconnu les faits dans leur totalité ce vendredi 8 novembre, avant de faire part à la cour de son souhait de devenir pasteur.
Google au coeur d'un nouveau scandale ? Apple accuse le géant du net d'avoir sciemment menti sur l'ampleur du piratage des iPhone. Un rapport rendu par la firme de Sundar Pichai en août 2019 accusait Apple d'avoir négligé plusieurs failles de sécurité dans le système iOS.
Selon Phonandroid, Google affirmait suspecter ces failles d'être exploitées par des pirates informatiques. La multinationale fondée par Larry Page et Sergueï Brin prétendait qu'une seule visite sur un site web piégé pouvait permettre à des hackers d'infiltrer un iPhone via un logiciel de malware.
Google : les failles de sécurité chez Apple délibérément exagérées
Si Apple ne nie pas l'existence de ces failles, il conteste néanmoins leur ampleur. "Plusieurs clients ont fait part de leur préoccupation face à certaines révélations et nous voulons nous assurer qu’ils aient les faits", a déclaré Apple dans un communiqué de presse publié sur leur site.
"Le rapport de Google publié six mois après le déploiement de correctifs pour iOS crée la fausse impression d’une attaque de masse pour surveiller les activités privées de populations entières en temps réel, suscitant la peur parmi les utilisateurs d’iPhone, comme quoi leurs appareils auraient été compromis. Cela n’a jamais été le cas", ajoute la firme.
"Tout indique que ces attaques n’ont été opérationnelles que pendant une courte période, environ deux mois, et non deux ans comme Google le laisse entendre", poursuit Apple.
Selon l'entreprise fondée par Steve Jobs, moins d’une douzaine de sites web auraient été exploités pour perpétrer ces attaques. Celles-ci auraient principalement visé des membres de la communauté ouïgoure, une minorité musulmane chinoise faisant l'objet de persécutions.