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Faut-il s’entêter avec l’assurance-vie ? Ce placement, qui compte parmi les préférés des Françaises et des Français, peine considérablement à lutter contre les forts taux d’inflation observés ces derniers mois. Comme tous les produits d’épargne, son rendement est grignoté - sinon complètement gommé - par la hausse des prix à la consommation ce qui engendre un manque à gagner important pour tous les épargnants qui ont parié sur lui… Soit 40% des ménages français, à en croire Mieux-Vivre-Votre-Argent.
Ceci étant, poursuivent nos confrères, cela n’a rien d’une fatalité. Il existe en effet différents types d'assurances-vie et certaines variantes sont tout à fait en mesure de lutter contre l’inflation ; telle qu’observée aujourd’hui à tout le moins. Premier conseil, si le rendement est le seul objectif de votre épargne : oubliez le fonds en euro. Sa rentabilité est trop faible, estimée à 1,10% pour l’année 2021. Il a d’autres atouts mais face à l’inflation, il ne fait pas le poids… sauf cas très spécifiques (certains affichent des performances à 2,50%, notent en effet les équipes du magazine, spécialisé).
Assurance-vie : comment la rendre assez rentable pour lutter contre l’inflation ?
Du reste, il est possible d’avoir recours à l’unité de compte, plus risquée mais aussi plus rentable, et de sélectionner les assureurs qui ont pour habitude de proposer des bonus sur le rendement de ces dernières. C’est le cas d’Axa, de Swiss Life, ou de Suravenir, par exemple.
Sans oublier, bien sûr, l’euro-croissance. Ce support financier propose une sécurité différée en échange de plus de performance. Parlez-en à votre assureur et envisagez la modification de votre contrat… mais n’abandonnez pas votre assurance-vie !