La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Le mercredi 28 juin s’ouvrira la prochaine période des soldes, tant attendue par de nombreux clients qui ont hâte de faire de bonnes affaires, notamment au vue du contexte économique actuel. Tout au long de l’année, de nombreux sites internet, sur lesquels vous êtes sûrement déjà allés, pratiquent des rabais.
Pourtant, ce mercredi 31 mai 2023, l’UFC-Que choisir annonce dans un communiqué porter plainte contre plusieurs sites de commerces en ligne. L’association de défense des consommateurs dénonce un recours aux "prix de comparaison" qui trompent les consommateurs pensant faire une acquisition réduite.
Les chiffres élevés des promotions trompeuses
D’après l’organisme, pas moins de 6 586 annonces portent un prix baissé sur les principaux sites de commerce en ligne. Parmi ces annonces, seulement 3,4 % d’entre elles seraient de véritables promotions opérées par les vendeurs.
Pour réglementer le marché, la directive européenne "Omnibus" impose que les réductions se fassent au prix le plus bas pratiqué le mois précédent. Malgré ces règles, certains sites, dont ceux épinglés n’ont pas tarder à trouver de "nouvelles stratégies" pour "contourner la réglementation", comme le note l’association.
Quels sont ces pratiques trompeuses ?
L’association de défense des consommateurs a également constaté que 96,6 % de leur échantillon, affichait des promotions reposant sur le concept de prix de comparaison, comme l’explique Ouest-France. Cette stratégie permet aux professionnels de choisir un prix avec lequel comparer leur produit. Ce stratagème est souvent mis en place via les appellations suivantes : "prix moyen sur les sites concurrents", "ancien prix" ou encore "prix de vente conseillé".
Découvrez dans notre diaporama ci-dessous, les 8 enseignes contre lesquelles l’UFC-Que Choisir a annoncé déposer plainte pour pratiques commerciales trompeuses auprès du Procureur de la République de Paris.