De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Le saviez-vous ? S’il n’est à priori pas possible de prétendre à une réelle retraite sans travailler, cela ne signifie pas qu’il soit nécessaire d’avoir passé l’intégralité de sa carrière à s’acharner à la tâche pour décrocher le taux plein ! En effet, ce dernier dépend de deux facteurs : le respect de l’âge légal de départ - aujourd’hui fixé à 62 ans minimum et automatique à partir de 67 ans - ainsi que le nombre de trimestres cotisés, note le journal Pleine Vie sur son site. Souvent, on parle également de "durée d’assurance".
Or, il est tout à fait possible d’acquérir des trimestres sans pour autant avoir à travailler. Les plus fortunés des contribuables, par exemple, peuvent parfois se permettre de les acheter. C’est une opération d’autant plus onéreuse qu’elle n’a généralement de sens qu’en fin de carrière ; pour ne pas risquer qu’une réforme change drastiquement les règles du jeu avant la liquidation des droits et ne rende l’acquisition (laquelle se chiffre potentiellement à plusieurs milliers d’euros) caduc.
Comment obtenir des trimestres de retraite sans travailler ?
Fort heureusement, il existe aussi des alternatives nettement moins coûteuses pour les autres. Plus de détails à ce propos dans notre diaporama.
Attention, cependant ! Dans l’essentiel des cas, ces trimestres supplémentaires ne permettent pas de gonfler le montant de votre pension passé le taux plein. Ils sont pensés pour rendre possible l’accès à une pension calculée sans minoration… pas pour l’augmenter. Vous n’en aurez donc pas nécessairement besoin si votre carrière n’a pas été hachée.