Le projet de loi de finances pour 2025 du gouvernement demande un effort de cinq milliards d'euros aux collectivités locales les plus aisées. Et cela ne sera pas sans conséquences sur votre quotidien.
L’air du Maroc a rendu Michel Fugain quelque peu énervé. Lors d’un concert donné pour la tolérance sur la plage d’Agadir, le chanteur a répondu aux attaques dont il a récemment été victime. L'artiste avait soutenu l’humoriste Jean Roucas après sa participation aux universités d'été du Front National. Et le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il n’y a pas été de main morte avec les médias. "Tant pis pour eux, s’insurge-t-il. Tant pis pour ceux qui croient tout et se renseignent sur cette chiotte publique qu’est le web. Avec une forme de journalisme qui n’est pas très honnête. Puisque je continuerai de dire, que ce soit de Jean Roucas ou n’importe qui : il pense ce qu’il veut, le mec. Il dit ce qu’il veut, c’est cela la tolérance, la liberté d’expression",a-t-il lâché au site d’informations belge Dernière heure."J’en ai rien à foutre de Jean Roucas"Michel Fugain a par ailleurs tenu à être clair. Certes, il soutient Jean Roucas dans sa liberté de pensée mais il ne partage pas ses idées : "Moi, je ne défendrai jamais une idée de Jean Roucas, j’en ai rien à foutre de Jean Roucas. Ce n’est pas bien. Mais ce n’est pas bien non plus que quiconque ait envie de blacklister qui que ce soit!".L’auteur de Je n’aurai pas le temps ne s’est pas arrêté là et a également attaqué l’argent qui entoure "l’industrie" culturelle et la démocratie. "Tout artisanat, le cinéma comme la musique, est devenu une industrie. Car malheureusement, c’est le pognon qui gère tout aujourd’hui. Or, l’argent est mortifère, je me tue à le dire! Dès qu’on parle de démocratie, ça pue.",a-t-il estimé. Et comme pour symboliser sa haine envers "l’industrie musicale", Michel Fugain a sorti son nouvel album le 30 septembre dernier.