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L’été s’installe et, pour beaucoup, c’est l’occasion de faire un peu de tri. Pourquoi, dès lors, ne pas monétiser ce genre de moments autrement un tantinet ennuyeux ? En récupérant certains des objets - et notamment des vêtements - dont vous n’aurez probablement plus besoin, il peut aussi s’avérer possible de les mettre en vente plutôt que de les ranger. C’est l’occasion de gagner quelques euros bien mérités (qu’il faudra tout de même déclarer !), à condition de savoir par quelle plateforme passer… et comment s’y prendre.
Le site communautaire Vinted constitue une bonne première piste. Il s’agit d’un marché en ligne, qui permet à tout un chacun de proposer d’anciens objets à la vente. Pourtant, il arrive parfois que les articles correspondant aux produits choisis soient tout simplement… retirés. Cela n’est pas anodin.
Vinted : pourquoi l’offre est-elle retirée du site ?
Une annonce est retirée, explique Vinted directement sur son site, quand elle “ne correspond pas aux règles du catalogue”. Dans les faits, deux procédures existent. La réclame peut être masquée ou purement et simplement supprimée, c’est selon.
Les annonces sont masquées quand :
- L’article proposé à la vente n’est pas conforme aux règles précédemment évoquées.
- Le vendeur n’a pas fourni de preuve d’authenticité pour l’article proposé à la vente.
- Certains éléments de l’annonce (prix, état, taille, hashtags, etc) sont trompeurs ou manquent de clarté.
- La description de l’article promeut une plateforme tierce.
- Les images soumises sont de mauvaise qualité ou l’annonce n’est pas bien catégorisée.
L’annonce sera en revanche supprimée si :
- L’article mis à la vente n’est pas autorisé au commerce sur Vinted.
- L’article proposé à la vente est une contrefaçon.
- L’article proposé à la vente enfreint les droits d’auteurs ou d’autres droits de propriété intellectuel ; quand il n’a pas été reproduit sans le consentement de l’individu titulaire de ces dits droits.
- L’article constitue un doublement ou a été mis en ligne pour être directement revendu ; le vendeur qui le propose est un professionnel qui n’est pas en droit de proposer un tel service.
- L’article comporte de la fourrure animale, des écailles ou de l'ivoire dans sa composition.
- L’article est un parfum ou un cosmétique qui a déjà été ouvert et dont l’intégrité ne peut donc être garantie. Il en va de même pour tout médicament ou appareil de toilettage électronique, s’il est pensé pour une utilisation sur un animal.
- L’article proposé à la vente est un bas de sous-vêtement, une parure de lit ou une serviette mais les illustrations ne permettent pas d’identifier clairement les étiquettes ou l’emballage d’origine.
- Les images utilisées pour illustrer l’article proviennent d’un autre site web.
- L’article devrait théoriquement être “muni d’une étiquette de classification par âge” mais ce n’est pas le cas.
- L’article fait l’appologie du terrorisme, d’une organisation terroristes, de la violence, de la discrimination ou du crime. Il en va de même pour tout appel à la haine.