Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
L'inflation poursuit sa course en 2023... Et ne risque pas de s'arrêter de sitôt. Alors que l'on entend beaucoup parler d'un mois de mars "rouge" pour les consommateurs, les spécialistes de la grande distribution se montrent plus pessimistes encore. Sur le plateau de BFMTV, Michel-Edouard Leclerc, président du comité stratégique des centres éponymes, a partagé ses craintes : "Ce n'est pas mars qui va être rouge, c'est le deuxième trimestre". L'homme d'affaires prévoit 12 à 14% de hausse dans les prochains mois.
Hausse des prix justifiée ou "recherche d'effet d'aubaine" ?
Son homologue de Système U, Dominique Schelcher, a de son côté pris la parole sur France Inter pour partager ses inquiétudes : "Mon pronostic malheureusement pour les mois qui viennent est de 10% supplémentaires, malgré tous nos efforts", a-t-il articulé. Avant de poursuivre : "Autant les choses étaient très justifiées tout au long de l'année dernière, avec les conséquence de la guerre en Ukraine, autant cette année, il y a une recherche d'effet d'aubaine de la part d'un certain nombre d'acteurs".
Ainsi, le PDG de Système U peine à comprendre les revendications de certaines grandes marques : "Pourquoi continue-t-on à nous demander des hausses de prix ? Le blé est en baisse de 23%, l'huile de 40% sur ces derniers mois. Le beurre, le maïs, l'acier, l'aluminium, les emballages, les transports sont à la baisse".
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