De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Depuis le 15 mars 2023, plusieurs enseignes de la grande distribution ont rejoint le dispositif "trimestre anti-inflation". Elles se sont ainsi engagées à vendre une sélection de produits, portant le logo du trimestre anti-inflation, au "prix le plus bas possible". Alors que le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, souhaite prolonger le dispositif au-delà du 15 juin, serait-il victime de son succès ?
Selon TF1, les marques de distributeurs (MDD) seraient en moyenne 30% moins chères que les grandes marques. Portées par le trimestre anti-inflation, elles sont de plus en plus plébiscitées, au point d’être en ruptures de stock chez plusieurs enseignes.
Ruptures de stock : les marques de distributeurs sont plus difficiles à trouver
Alors que Bruno Le Maire déclarait ce samedi 20 mai "on va évidemment prolonger [l'opération] d'un trimestre supplémentaire, les MDD sont introuvables en rayon depuis plusieurs jours. "C'est très intéressant, mais il y en a de moins en moins. Il y en a moins dans les rayons parce qu'il y a beaucoup de ventes", estime une mère de famille sur TF1.
Selon La Dépêche, à la mi-mars,5 % des produits dans les grandes surfaces manquaient dans les rayons. 56 % des consommateurs seraient "souvent" confrontés à ce phénomène. Or, d’après Gaëlle Le Floch, experte grande consommation et directrice marketing chez Kantar, "avec le contexte inflationniste, une demande très forte augmente au profit des marques distributeurs, notamment des marques premier prix. C’est compliqué pour une enseigne d’anticiper plusieurs mois en avance cette oscillation", rapporte TF1.
Q uelles sont les marques de distributeurs concernées par des ruptures de stock ? Découvrez-le dans notre diaporama ci-dessous.