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INTERVIEW. Noëlle Châtelet, écrivaine et présidente de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), se confie le suicide de sa mère mais également sur son combat sur le droit à mourir.
Dinde ou chapon ? Cette année, le choix du plat principal à la table de Noël risque d'être moins influencé par les goûts de chacun que par l'inflation. Alors que les produits alimentaires ont connu une hausse des prix proche de 12% au mois de novembre 2022, les mets typiques de fin d'année ne devraient pas être épargnés. Dans les colonnes du Parisien, Emily Mayer, experte de la grande distribution pour l'IRI, tire la sonnette d'alarme : "Lait, crème, sucre, œufs, sans oublier le coût de la surgélation, tous les postes flambent".
"L’un dans l’autre, l’inflation du repas de Noël ne sera pas forcément supérieure à celle de la moyenne des produits alimentaires. La différence, c’est que la valeur faciale du foie gras ou du saumon, à savoir leur prix dans l’absolu, est bien plus élevée", poursuit la spécialiste. Mais quels sont les aliments ou boissons qui vous coûteront bien plus cher cette année ? Dans notre diaporama ci-dessous, découvrez la liste des denrées typiques de Noël les plus touchées par l'inflation... Ainsi que celles qui, au contraire, connaissent une moindre hausse des prix.
Si les folies sont moins permises cette année, hors de question de faire l'impasse sur le plaisir d'un bons repas partagé en famille. Quelques astuces et bonnes pratiques vous permettront de régaler vos proches tout en économisant :
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