De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Ségolène Royal en pris pour son grade. Interrogée par le Parisien Magazine à l’occasion de la journée internationale de la femme, Nathalie Kosciusko-Morizet s’est en effet montrée critique quant à la carrière de l’ancienne compagne de François Hollande et des relations que ces derniers entretiennent actuellement. Selon l’ancienne maire de Longjumeau (Essonne), celle qui briguait l’Elysée en 2007 "en est à attendre que son ex la nomme quelque part". Selon NKM, "elle s’est construite parallèlement à François Hollande, et l’issue n’a pas été en sa faveur". Et alors que Ségolène Royal a récemment été nommée à la vice-présidence de la Banque populaire d’investissement (BPI), l’ancienne porte-parole de Nicolas Sarkozy a poursuivi : "Je pense qu’elle méritait mieux que ce lot de consolation incongru". Nathalie Kosciusko-Morizet a par ailleurs conclu que "le premier trésor pour une femme, c’est son autonomie. Il ne faut jamais dépendre d’un homme, ni procéder de lui".
"Une insupportable misogynie"
Les propos de NKM ont aussitôt provoqué l’ire du Parti socialiste. Adeline Hazan, la secrétaire nationale du parti aux droits des femmes a en effet déclaré que "résumer le parcours politique de Ségolène Royal à sa relation privée avec François Hollande relève d’une insupportable misogynie". Selon elle, "réduire une femme à sa relation avec un homme, dans une interview publiée le jour-même de la journée internationale pour les droits des femmes, est une provocation que nous ne pouvons accepter".