
Le début du mois d'avril est placé sous le signe du soleil avec une météo idéale sur la majeure partie du territoire. Découvrez les prévisions région par région.
Le cauchemar des automobilistes. Les radars sont dispatchés sur nos routes depuis le début des années 2000, "dans l'optique de réduire le nombre de tués sur les routes", rappelle le site de la Sécurité routière. De nombreuses personnes ne le voient pas vraiment comme ça et estiment qu'ils ont surtout été mis en place pour renflouer les caisses de l'Etat... Au fait, qui décide de l'emplacement de ces dispositifs ?
Comme l'explique la Sécurité routière, "la décision d'implanter un radar s'effectue sur des sites où se produisent un nombre d'accidents corporels supérieur à la moyenne, où la vitesse est souvent en cause dans la survenance de ces accidents et où les contrôles sont difficiles à réaliser avec des moyens humains". Voici le seuil de tolérance aux excès de vitesse pour les radars :
Si les contrôles automatisés ont débuté en France en 2002, il a fallu attendre dix ans de plus pour voir apparaître les radars "mobiles de nouvelle génération", aussi appelés voitures radars. Embarqués à bord de voitures banalisées, ils détectent sans flash visible et en roulant, tous les véhicules en excès de vitesse.
Selon la Sécurité routière, "ils sont conçus pour cibler les conducteurs responsables de grands excès de vitesse : la marge technique de ces radars est de 10 km/h pour les limitations de vitesse inférieures à 100 km/h et de 10% pour les limitations de vitesse supérieures à 100 km/h (contre 5km/h et 5% pour les autres radars de contrôle de la vitesse).
Pour l'instant, les voitures radars privées ne circulent pas dans toutes les régions, mais de nouveaux territoires vont bientôt y être soumis eux aussi. Découvrez ci-dessous quels départements seront concernés d'ici la fin de l'année 2022 et l'année 2023.