La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Depuis plusieurs semaines à Vannes dans le Morbihan, plusieurs plaintes ont été déposées à la police pour des arnaques à la contravention, reçues directement dans la boîte aux lettres des victimes potentielles. A l’ouverture du courrier, une contravention factice, presque identique à l’officielle. Plaque d’immatriculation du véhicule ayant commis l’infraction, un site internet pour payer son amende, tout est fait pour rendre l’arnaque la plus crédible possible.
Suite à ces plaintes de plus en plus récurrentes, la police locale a partagé sur ses réseaux sociaux un modèle de ces contraventionspiégées, avec un message de vigilance adressé à tous. Une enquête a également été ouverte.
Que faire pour éviter ces arnaques ?
Il devient difficile de s’assurer que sa contravention est véridique ou non. Et pour cause : ces dernières sont d e plus en plus travaillées et recherchées pour tromper et rendre le tout vraisemblable. Fort heureusement, de nombreuses méthodes et repères permettent d’éviter de se faire escroquer.
- Soyez tout d’abord attentif aux fautes d’orthographe, les malfaiteurs ont tendance à en faire plus d’une sur leurs copies.
- Le site Internet indiqué sur la contravention pour payer son amende est unique : www.amendes.gouv.fr. Une autre adresse, même légèrement différente, pourra vous mettre la puce à l’oreille.
- Les fausses contraventions sont susceptibles de posséder un QR code, aucun QR code n’est présent sur les vraies contraventions.
- Bon à savoir : en plus du numéro de la plaque d’immatriculation qui est indiqué, le modèle de la voiture est systématiquement affiché sur une contravention officielle.
- Toujours dans le doute ? Vous pouvez vérifier l’authenticité de la contravention sur le site de l’ANTAI. Enfin, prenez votre temps, et contactez la police si l'incertitude persiste.