Les concentrations moyennes de résidus de chloridazone, un pesticide retiré du marché depuis 2020 dépassent la valeur maximale établie au niveau européen dans de nombreux départements, d’après un rapport de...
Le retour des temps estivaux pourrait en pousser quelques-uns à ne pas se montrer vigilants. Ce serait pourtant une erreur : les arnaques se succèdent sans cesse et ce milieu de printemps (en dépit des fortes températures, il faut garder à l’esprit que l’été ne commence pas avant le 21 juin !) ne fait guère exception à la règle. Ces dernières semaines, les escrocs les plus inventifs ont aisément se faire passer pour postière, quand ils n’ont pas usurpé l’identité de fabricants de matelas. D’autres ont choisi la casquette du banquier ou celle de l’annonceur EuroMillions… Dans tous les cas, il est important de faire preuve de prudence.
Récemment encore, de nombreux escrocs ont eu recours à de faux billets pour mieux flouer leurs victimes. Fort heureusement, explique la Banque de France sur son site, certaines techniques permettent d’aisément discerner le vrai de la contrefaçon. Il suffit alors d’appliquer la méthode “TRI”.
Méthode “TRI” : de quoi parle-t-on ?
La méthode “TRI” correspond en vérité à trois gestes simples. Pour la mettre en oeuvre correctement, il faut donc :
- Toucher. Si le papier n’offre pas une texture ferme et ne craque pas sous les doigts, il y a un problème. De la même façon, certains éléments du billet sont en reliefs.
- Regarder. Les nombres incomplets doivent normalement se compléter pour donner la valeur exacte du billet. De même, la pastille holographique doit normalement se distinguer dans le motif architectural, où figurent les couleurs de l’arc en ciel.
- Incliner. Une fois penché, l’encre utilisée pour l’impression de la valeur du billet doit normalement passer du violet au vert olive ou au marron.