De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Un long bras de fer. L'annonce d'un reconfinement national mercredi 28 octobre a inquiété de nombreux commerçants, obligés de fermer leurs portes car leurs produits sont jugés non essentiels par le gouvernement. Ils ont très rapidement dénoncé une injustice face aux grandes surfances, autorisées à accueillir des clients et qui ne vendent pas uniquement des produits alimentaires. C'est finalement le Premier ministre Jean Castex qui a eu le dernier mot dans cette affaire, annonçant l'interdiction à partir du mardi 3 novembre de la vente par les grandes surfaces des produits vendus par les commerces dits non-essentiels.
Supermarchés : une nouvelle disposition dans le décret
Lors d'un interview sur TF1, le locataire de Matignon a déclaré : "J'ai décidé, dans le décret qui régit le confinement, d'ajouter une disposition, qui entrera en vigueur mardi matin, interdisant la vente des produits qui ne peuvent pas être vendus, qui sont d'ores et déjà interdits dans les commerces de proximité, dans les grandes surfaces".
Face à la colère des commerçants déjà duremement touchés par le premier confinement, Jean Castex a annoncé un crédit "de 20 milliards d'euros supplémentaires" pour les soutenir. Une nouvelle concertation, avec les représentants du secteur, doit également avoir lieu dans 15 jours, une sorte de point d'étape sur les premiers jours de cette mise sous cloche d'un nouveau jour.
Certains supermarchés, notamment Carrefour, Leclerc et Auchan, avaient décidé en fin de semaine de ne plus proposer de livres à la vente après la fronde des libraires, obligées elles aussi de fermer boutique. Quels sont les rayons concernés ? Découvrez-le dans le diaporama ci-dessus.