De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
"On va à Miromesnil comme d'autres iraient à Lourdes", écrit Le Parisien, qui revient en long, en large et en travers sur la "nouvelle" vie de Nicolas Sarkozy. Celle d'après l'Elysée, qui a commencé il y a plus de huit ans désormais. Et, de toute évidence, l'ancien chef de l'Etat est particulièrement demandé. Cela n'a rien de très étonnant : c'est le dernier à "avoir porté la famille à la conquête du pouvoir suprême", poursuivent nos confrères. Rue de Miromesnil, dans le VIIIè arrondissement de la capitale, il reçoit d'importantes figures politiques et des gens moins en vue ; issus essentiellement de la droite mais pas systématiquement. Il lui arrive aussi de rencontrer des patrons d'entreprises, par exemple. A chaque fois se jouent les mêmes rituels.
Le Parisien n'hésite d'ailleurs pas un parler de "cérémonial", tant les habitudes de l'ancien président de la République semblent se répéter. Tout, à l'évidence, est fait pour lui rappeler sa précédente vie. Celle d'avant sa défaite contre François Hollande, avant la fin de sa mission à la tête de l'Etat. "On s'installe dans une petite salle d'attente. Il y a pleins de photos de lui et Carla", décrit l'un des habitués. "Il y a des médailles partout", poursuit un autre qui évoque même un "mausolée à sa gloire"...
Le petit péché mignon de Nicolas Sarkozy
Quand il se décide finalement à recevoir son hôte, Nicolas Sarkozy procède toujours de la même façon : il ouvre la porte et s'assure que son invité s'installe en face du canapé qu'il se réserve. Puis, il fait montre de sa générosité en proposant quelques douceurs et autres sucreries. "Invariablement, il y a une grande boite de chocolats. Il en offre un... il en mange trois !", s'amuse d'ailleurs le "maire d'une grande ville", qui a déjà rendu visite à l'ancien patron des Républicains. Un péché gourmand dont avait d'ailleurs déjà parlé Carla Bruni...