Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
L'affaire continue. Les enquêteurs tentent toujours de découvrir ce qui est arrivé exactement à Victorine Dartois le jour de sa disparition, le samedi 26 septembe 2020. Si nous connaissons désormais la cause du décès, l'auteur du crime n'a pas encore été identifié. De plus, il est impossible à ce stade de savoir ce qui a motivé le meurtrier a commettre un tel acte. Mauvaise rencontre, vol qui a mal tourné... Toutes les pistes sont envisagées par les gendarmes de la section de recherches de Grenoble. Tant que faire se peut, ces derniers tentent de retracer exactement le déroulé de la soirée de la victime.
Nous le savions déjà : la jeune femme rentrait d'une après-midi entre amis au moment des faits. Ayant raté sa correspondance de bus, elle appelle sa famille pour rentrer à pied. S'agissait-il de sa soeur, très impliquée dans les recherches, ou bien de ses parents à l'autre bout du fil ? Les médias ne se mettent pas tous d'accord les uns avec les autres. En effet, 20 minutes, affirme que Victorine téléphonait à ses parents sur le chemin retour : "Elle avait téléphoné à ses parents vers 19 heures pour leur signaler qu’elle s’apprêtait à rentrer", est-il écrit. L'Indépendant, lui, indique que la jeune femme a contacté sa soeur. "Peu de temps après, elle appelle sa sœur pour la prévenir qu'elle sera bientôt à la maison", assure le quotidien français. Apparemment, les détails autour de cet appel téléphonique ne sont pas très clairs.
Victorine Dartois : son dernier coup de fil, un lieu symbolique
Une chose est sûre : le dernier appel de Victorine à sa famille a été passé à 19 heures, au stade de la Prairie. Ce lieu est désormais très symbolique, étant le dernier endroit où l'étudiante a donné signe de vie. D'après le Dauphiné Libéré, le stade de la Prairie fut le point de départ de la marche blanche en l'honneur de la jeune iséroire. La foule a ensuite marché deux kilomètres jusqu'au quartier des Fougères, où habite la famille Dartois.