Une conductrice a saisi le Conseil d'État après avoir reçu une contravention pour stationnement. Et la juridiction lui a donné raison. Explications.
"Et moi, je n’accepterai jamais un truc pareil !", lâchait sans ambages Eric Dupond-Moretti, le 15 avril 2018, sur le plateau d’Audrey Crespo-Mara. Il était alors questionné sur sa possible entrée au gouvernement. Une idée "sotte, totalement saugrenue, incongrue", estimait-il à l’époque, expliquant aussi qu’il ne pourrait s’y résoudre. "Ce n’est pas mon métier ! Il faut en avaler des couleuvres pour faire de la politique. Puis, il faut être d’accord avec tous les copains du gouvernement auquel on appartient-soi même", déclarait-il encore, rappelle le tabloïd Puremedias.
Il ne s’était d’ailleurs pas arrêté là.
"Il faut manger son chapeau de temps en temps", poursuivait celui qui, décidément, dresse un portrait dur de ce qu’est être ministre. "C’est une discipline. C’est un exercice. Je n’en ai pas les compétences", assène-t-il ensuite. De toute évidence, les choses ont changé.
Il semble d’ailleurs que Brigitte Macron n’y soit pas pour rien.
En effet, la complicité entre la Première dame et l’Acquittator aurait joué un rôle considérable, rapporte Femme Actuelle. Le journal revient même sur "la proximité" supposée entre les deux. En cause ? Un cliché, publié en février 2019 sur divers réseaux sociaux, faisant montre d’une scène étrange.
Y apparaissent évidemment le nouveau ministre et l’ancienne institutrice, dans une pose "collé-serré", ainsi qu’il l’a lui même décrite. La photo aurait pu passer inaperçue, note d’ailleurs le journal féminin, mais Jean-Luc Mélenchon a décidé de l'exhumer en septembre 2019… Ce que n’a que peu apprécié l’ex-conseil.