La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Ce matin, le nouveau ministre des Affaires étrangères a expliqué au Parisien que François Hollande l'avait tanné "pendant plusieurs semaines" pour qu'il revienne au gouvernement. "J'ai eu des discussions avec François Hollande pendant des semaines. Il m'a dit : 'Il faut que tu reviennes, tu ne peux pas rester sans rien faire'", témoigne-t-il au journal.
Pour le nouveau locataire du quai d'Orsay, après le départ de Laurent Fabius, le président a sûrement voulu placer quelqu'un qui le "rassure". "Il a sans doute voulu mettre au quai d'Orsay quelqu'un qui le rassure après le départ de Laurent Fabius. Quelqu'un qui rassure aussi les partenaires de la France. J'avais cette expérience après avoir dirigé le gouvernement pendant deux ans", a expliqué Jean-Marc Ayrault.
Il insiste sur le fait que pour lui c'était ça ou rien. "Je n'aurais pas accepté un autre poste. Le Quai est une grande maison."
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Toujours en désaccord avec Manuel Valls
Dans cet entretien avec le Parisien, Jean-Marc Ayrault confirme que les "couacs" du temps où il était à Matignon perdurent depuis son remplacement par Manuel Valls. Le ministre des Affaires étrangères n'a nommé personne pour ne pas alimenter le débat mais l'a subtilement fait remarquer : "Je ne suis pas d'accord sur tout. Je reste fidèle à ma méthode, celle du dialogue. Si elle avait davantage été utilisée, on aurait probablement évité beaucoup de problèmes", a-t-il déclaré. Sans doute fait-il allusion à l'utilisation du 49.3 sur la loi Macron, la déchéance de nationalité ou encore la remise à plat du Code du travail. Toutefois, il assure ne pas être "dans la revanche" avec son remplaçant à Matignon.