La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Ce mercredi sort en format poche son livre – le plus lu de l’année 2014 – Merci pour ce moment dans lequel Valérie Trierweiler revient sur sa relation avec François Hollande.
Pour cette occasion, l’ex-Première dame de France a donné une interview au Parisien où elle revient sur le succès de son livre et en profite pour livrer son jugement sur les liens qui unissent le président de la République à son ancienne compagne, aujourd’hui ministre de l’Écologie, Ségolène Royal. Pour peu, on se croirait revenu au temps des favorites sous la monarchie…
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Un constat que semble partager implicitement Valérie Trierweiler qui, pour répondre aux attaques sur son livre égratignant l’image du président, déclare : "Le crime de lèse-majesté existe encore dans les têtes.", ou encore : "Après l’effet de surprise, « la cour » a été violente, systématique et souvent outrancière."
"J’ai cru à cet amour"
Puis, la journaliste livre son analyse sur la présence de plus en plus remarquée de Ségolène Royal aux côté du chef de l’État : "Je m’incline, lâche-t-elle ironiquement. Ils sont indissociables. Tous les deux partagent un goût immodéré pour la politique. Le pouvoir est leur raison de vivre, leur obsession commune."
L’ancienne compagne du président fait ensuite cette confidence surprenante : "Lorsqu’en 2005, leur rivalité a pris le pas sur leur complicité, j’ai servi d’instrument pour la conquête du pouvoir. J’ai été naïve." Et, blessée, elle déclare "avoir cru à cet amour, mais il n’y avait pas de place pour autre femme dans cette histoire."
"Maintenant, ils peuvent se retrouver et s’entraider. Et utiliser à leur profit les médias et le pouvoir dont ils raffolent l’un comme l’autre. Rien de nouveau sous le soleil.", conclut-elle sèchement.
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