De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Valérie Trierweiler n’en finit pas de démonter l’image de François Hollande. Après avoir consacré une bonne partie de son livre Merci pour ce moment à raconter les travers du président, son ex-compagne continue désormais à l’étranger. En tournée internationale pour promouvoir son best-seller, l’ancienne Première en a remis une couche. Lors d’une interview accordée samedi au quotidien italien La Repubblica, elle a en effet fait de nouvelles révélations qui promettent, une fois encore, de desservir les intérêts du chef de l’Etat.
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"Le mensonge nous a accompagnés jusqu’à la fin""Vous voulez un scoop ? Il y a quelques jours, il (François Hollande, ndlr) est venu me trouver. Il était assis juste ce que canapé. Il voulait me dire qu’il ne m’en voulait pas pour le livre. Et il voulait m’assurer que Julie Gayet ne vient jamais à l’Elysée", a ainsi confié la journaliste de Paris Match, laquelle sait assurément quoi dire aux médias pour faire parler d’elle. Et celle-ci de souligner, comme pour enfoncer le clou : "A l’évidence, le mensonge nous a accompagnés jusqu’à la fin". En dévoilant cette anecdote, Valérie Trierweiler a ainsi fait écho au dernier numéro de Voici sorti la vielle et dans lequel l’on peut voir des clichés de François Hollande et sa prétendue nouvelle compagne ensemble, attablée dans les jardins de l’Elysée. "Julie Gayet y est comme chez elle : la comédienne y dort plusieurs fois par semaine...", écrivait l’hebdomadaire, estimant même que l’actrice est devenue "une Première dame quasi officielle".
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Valérie Trierweiler dézinguée par The GuardianMais si la tournée promotionnelle entamée la semaine dernière par Valérie Trierweiler fait les choux gras de la presse étrangère, certains médias n’hésitent cependant pas à dénoncer son attitude. Il s'agit là d'"une série de clichés à couper le souffle trempés dans suffisamment de venin pour couler un gouvernement, sans parler de la narcissique prétentieuse qui semble avoir construit toute sa carrière autour d'un ego fragile", a en effet raillé une éditorialiste du Guardian. "Si c'est cela que les Français appellent l'élite, que le Ciel vienne en aide aux pauvres !", a-t-elle-même lâché.
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