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Marlène Jobert, une femme éprise de liberté. Celle qui a fait ses premiers pas en tant que comédienne dans les années 70 est connue pour son passé sulfureux. Souvenez lorsqu'elle apparaissait nue dans Le premier passager, un film de réalisé en 1970 . Avec plus d’une trentaine de films à son actif (Les bons baisers du soleil, Dernier domicile connu, …), l’ancienne comédienne âgée de 74 ans s’est aujourd’hui reconvertie dans l’écriture.
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De comédienne à écrivain
Marlène Jobert profite d’une retraite bien méritée sur sa "terre d’inspiration", comme elle l'appelle elle-même : la Normandie. A l’image de Brigitte Bardot, elle a préféré arrêter sa carrière alors qu’elle était au sommet de sa gloire. En 2007, elle a d’ailleurs reçu un César d’honneur pour l’ensemble de son œuvre. Loin des plateaux de cinéma, elle se consacre désormais à une toute autre activité : l’écriture de contes pour enfants. Comme le révélait Gala en 2014, ses contes sont même traduits en chinois. Une reconversion donc réussie pour l’ancienne idole des années 80. "J’aime baigner dans cet univers enchanteur où rien n’est impossible. C’est un peu comme si les réserves de fantaisie que je mettais au service de mes rôles avaient trouvé un nouveau champ d’application", racontait ainsi l’ancienne actrice dans une interview accordée au magazine.
De nombreuses aventures à l’amour
Depuis 1976, Marlène Jobert partage sa vie avec le même homme, Walter Green. C’est avec lui que l’ancienne comédienne a donné naissance à ses jumelles, Eva et Joy. Cette dernière a d’ailleurs accouché de deux garçons, Giulio (5 ans) et Vittorio (2 ans). Et oui, Marlène Jobert est grand-mère ! Mais celle qui mène désormais une existence sage et rangée n’a pas toujours été adepte de cette routine. En effet, elle a dû refuser les avances d’Yves Montand avec qui elle a partagé son premier grand rôle dans Des Clowns par milliers alors qu’elle n’était âgée que de 22 ans. Elle a également vécu une aventure avec le réalisateur Claude Berri dans les années 60 avant que les médias ne lui prêtent une liaison avec l’ancien président de la République Valéry Giscard d’Estaing. Une liaison qu’a toujours réfutée Marlène Jobert. "Je n’ai croisé monsieur Valéry Giscard d’Estaing qu’une seule fois dans ma vie, en 1973 dans un restaurant, en Tunisie", a-t-elle assuré à Gala.
La même passion de mère en fille
Eva Green, sa fille, s’est lancée depuis quelques années dans le cinéma et cela ne semble pas la ravir. "On ne peut pas dire que j'ai reçu sa décision avec beaucoup d'enthousiasme. C'est un métier tellement difficile. Et elle est tellement introvertie, timide, pudique, que je me suis dit qu'elle n'était pas du tout faite pour ce métier", avait-elle notamment déclaré à Laurent Delahousse sur le JT de France 2, il y a trois ans. En effet, Marlène Jobert n'a jamais caché pas son aversion pour son ancienne profession. "C’est un métier ingrat, injuste, cruel et très aléatoire", expliquait-elle ainsi à Gala. Pour autant, elle reconnait que sa fille a su révéler "des qualités qu'(elle) ne lui soupçonnai(t) pas : une résistance physique et mentale, une présence d’une densité impressionnante et un talent indéniable".