Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
L'été pointe le bout de son nez. Sur fond de pandémie, difficile de savoir ce que nous réserve les prochains mois. Pass sanitaire, voyages, variants, restrictions, port du masque en extérieur... Bien des questions restent en suspens. En France, la situation sanitaire semble s'améliorer, doucement mais sûrement. D'après l'Agence nationale de santé publique, moins de 9 000 nouveaux cas ont été enregistrés pour la journée du 30 mai 2021. En outre, il y a désormais moins de 3 000 patients Covid en réanimation, sur les 16 775 personnes actuellement hospitalisées. Le taux de positivité au virus, lui, est désormais plutôt faible. Santé publique France l'estime ainsi à 3,2% sur les sept derniers jours.
Une situation qui redonne de l'espoir à quelques jours de l'été. Arnaud Fontanet, épidémiologiste, insiste sur la nécessité de poursuivre les efforts pour ralentir la circulation du virus. Dans les colonnes du Parisien, le professeur indique que "les quinze jours à venir sont cruciaux" si l'on souhaite passer un été "tranquille". D'après lui, il suffirait que de nouveaux variants émergent pour créer "de nouvelles tensions dans les hôpitaux". "Ce ne serait pas forcément une quatrième vague, mais le risque de devoir fermer des établissements scolaires resurgirait", craint le spécialiste.
Une centaine de cas de variant indien en France
La menace du variant indien plane également sur la France. Selon le quotidien francilien, les détections de variant indien B1.617 augmente sur notre territoire. Sur l'ensemble de l'Hexagone, une centaine de cas auraient été recensés dans une quarantaine de foyers différents. "Entre les asymptomatiques et les personnes positives pour lesquelles le variant n’est pas détecté, une partie difficile à quantifier passe sans doute entre les mailles du filet", indique cependant Le Parisien. Un élément qui doit donc rester sous la haute surveillance des autorités sanitaires.