Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
"Si elle veut m'appeler, je suis à sa disposition". Tel est le message de Valérie Trierweiler à l’attention de Michelle Obama. L’ex-Première dame française à en effet fait savoir ce mardi sur Europe 1 qu’elle était disponible pour participer aux prochains événements de soutien aux 220 lycéennes nigérianes enlevées par les terroriste de la secte islamiste Boko Haram.
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Une cause occultée par l'actualité
Valérie Trierweiler a ainsi profité de son interview pour rappeler le calvaire vécu par ces jeunes filles et l'importance de poursuivre la mobilisation pour leurs libération. A plus forte raison que les crashs d’avions successifs et le conflit au Proche-Orient occupent depuis maintenant plusieurs semaines les gros titres des médias. La journaliste de Paris Match a par ailleurs expliqué qu’elle suivait l’avancée du dossier de très près en discutant régulièrement avec François Hollande. "Il est au courant de l'opération, il avait effectivement vu les images la dernière fois. Et il m'a confirmé qu'il y avait toujours une coordination entre la France, le Tchad, le Cameroun et le Nigeria", a ainsi expliqué Valérie Trierweiler.
Le kidnapping des jeunes nigérianes avait ému la communauté internationale et les réseaux sociaux, notamment avec le fameux #BRINGBACKOURGIRLS sur Twitter.
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