La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Dans une déclaration à l'AFP, la porte parole du mouvement, l'activiste Frigide Barjot, a expliqué que la loi mise en place en 2010, avait "ouvert la possibilité pour les citoyens de saisir [le Cese] par voie de pétition. Pour que ce débat démocratique ait lieu, 500 000 pétitions doivent être réunies". "Le Cese dira le 26 février s'il juge recevable la pétition" a poursuivi la porte-parole des anti-mariages gay. Elle se félicite par ailleurs que "700 000 signatures ont été récoltées en moins de trois semaines, ce qui prouve que les Français sont extrêmement mobilisés". L'objectif est même d'atteindre le million.
Le texte ne passera devant le Sénat pour y être examiné que le 2 avril. D'ici là, Frigide Barjot espère que le Cese aura tranché en sa faveur. S'il permet d'engager un débat au niveau national, l'organe n'a aucun rôle politique, ni décisionnaire, ni suspensif. Le président du Cese le rappelle à juste titre : "Nous ne sommes ni une instance de recours pour contester une décision politique ni une instance disposant d'un pouvoir suspensif pour freiner une décision politique. Ce qui signifie que cette saisine, si elle aboutit, n'aura aucune conséquence sur la procédure législative en cours" a-t-il affirmé.