Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
L’Italie crie au scandale après une décision rendue par la Cour de cassation en octobre dernier. Le 15 octobre 2013, la plus haute juridiction italienne a ordonné le renvoi en appel du procès de Pietro Lamberti, condamné en 2011 à cinq ans de prison pour actes sexuels avec mineur de moins de 14 ans. L’arrête était alors passé inaperçu mais Il Quotidiano della Calabria vient de ressortit l’affaire.La Cour parle d'un « rapport amoureux »Selon le quotidien, la Cour de cassation a estimé que les juges n’avaient pas suffisamment pris en compte « le consensus » entre l’homme de 60 ans et la fillette de 11 ans. Elle avance ainsi « l’existence d’un rapport amoureux, l’absence de contrainte physique et le fait que la fillette soit amoureuse ». Un nouveau procès doit donc avoir lieu.L'Italie scandaliséeBeaucoup voient dans cette décision « une validation de la pédophilie » et les réactions se multiplient sur les réseaux sociaux. Pietro Lamberti, qui travaillait comme employé des services sociaux de Catanzaro, en Calabre, s’était vue confiée la fillette par ses parents, une famille démunie, rapporte le quotidien italien. Il avait été confondu après des écoutes téléphoniques, et avait été surpris en flagrant délit avec l’enfant dans son lit.