De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Quatre adolescentes qui s'échangeaient des messages sur Facebook dans lesquels elles affirmaient vouloir commettre des attentats ont été interpellées mercredi par les enquêteurs de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI).
Deux d'entre elles ont été mises en examen, a indiqué samedi une source judiciaire à l'AFP, confirmant une information de BFMTV. L'une des deux, la plus jeune, a été placée en détention provisoire, tandis que l'autre, âgée de 17 ans, a été mise sous contrôle judiciaire. Les deux autres ont été relâchées à l'issue de leur garde à vue.
Des attentats "semblables à ceux du 13 novembre"
L'enquête montre à ce stade que les jeunes filles voulaient commettre des attentats sur des salles de concert parisiennes, "semblables à ceux du 13 novembre". Il semblait s'agir à ce stade d'"un projet intellectuel : aucune arme, ni substance de nature explosive n'ont été découvertes", selon le parquet de Paris, interrogé par l'agence de presse.
Parmi ces quatre adolescentes, toutes mineures, deux sont des sœurs et les autres vivaient dans des villes différentes. Ces dernières ne se connaissaient pas et ne s'étaient jamais rencontrées.
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