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Publié par Rédaction, le 18/01/2021
Surprise. C'est un détail essentiel à l'avancée de l'enquête : Delphine Jubillar est - était ? - la seule à connaître son mot de passe Facebook. Et pourtant, ainsi que l'a déjà expliqué Planet, un message a récemment été publié depuis son compte sur le groupe "citoyens en colère 81". Ce dernier, vide de tout texte comme de tout fichier, a rapidement été supprimé ensuite. Cependant, souligne le magazine Closer, nombreux sont les internautes à avoir réalisé des captures d'écrans du post. Ils les ont ensuite communiqués aux enquêteurs de la section de recherches de la gendarmerie de Toulouse, qui fait tout son possible pour retrouver l'infirmière.
Alors que l'enquête piétine, ce message soulève un certain nombre de questions. Bien sûr, il suscite l'espoir chez les proches de Delphine Jubillar, puisque ces derniers veulent désormais croire qu'elle est encore en vie. "Ca serait une façon somme toute assez élégante de faire savoir qu'elle existe encore sur cette planète", a d'ailleurs confié l'avocat des parties civiles dans les colonnes du Parisien. Une piste que les chercheurs n'entendent pas ignorer.
Les gendarmes chargés de l'affaire ont d'ores et déjà quelques certitudes. Depuis un moment, désormais, ils ont décidé d'écarter la thèse du départ volontaire, dont il a été question aux origines de l'enquête. Ils sont dorénavant persuadés que la disparition de la trentenaire est due "à l'intervention d'un tiers". Ce qui laisse bien des possibilités…
Avec un peu de chance, ce message publié sur Facebook devrait leur permettre de restreindre le champ des possibles. En effet, les forces de l'ordre ont identifié trois nouvelles pistes depuis sa publication. Récapitulatif.
Les enquêteurs envisagent effectivement que Delphine Jubillar soit encore en vie. Ce message serait, alors, une façon de contacter le monde extérieur, ainsi que l'affirmait l'avocat des parties civiles.
Si c'est bel et bien le cas, la publication Facebook pourrait peut-être même leur permettre de retrouver la trace de l'infirmière, née Aussaguel. "Concrètement, les autorités peuvent remonter cet étrange message et demander à Facebook la géolocalisation de la diffusion de ce dernier", explique en effet Damien Bancal, expert en cybercriminalité, contacté par RTL. Mais d'autres pistes, moins heureuses, persistent également...
Les enquêteurs n'oublient pas non plus la possibilité que le message ne provienne pas de Delphine Jubillar. Il est possible que son compte ait été piraté, par exemple. Où tout simplement que son téléphone portable ait été dérobé ou retrouvé. Avec le mobile de l'infirmière en sa possession, un individu pourrait théoriquement accéder à certaines de ses informations personnelles, dont son compte Facebook…
Dans l'immédiat, les gendarmes ne peuvent pas encore dire depuis quel appareil le message a été publié. Cela pourrait cependant changer au fur et à mesure qu'avance l'enquête.
Dernière piste envisagée, qui est aussi la moins probable : Facebook a été victime d'un bug. Auquel cas, l'enquête en reviendrait au point mort.
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