Ce lundi 25 novembre est celui de la journée internationale de lutte contre la violence faite aux femmes. Zoom sur The Sorority, cette application réservée aux femmes et aux minorités de genre qui propose de leur...
Ne pas finir sa vie dans un mouroir. Déjà avant le scandale Orpéa et l’enquête accablante de l’IGAS, les Ehpad n’avaient pas bonne presse en France. Souvent considérés comme des antichambre avant le dernier voyage, ils accueillent essentiellement des patients diminués, qui y restent parfois jusqu’à y mourir. Pourtant, c’est loin d’être l’avenir dont rêvent les Françaises et les Français, qui dévoilaient récemment le portrait de leur logement idéal, une fois survenue la cessation d’activité.
Cette maison si particulière, explique Capital sur son site, est le fruit de nombreux témoignages recueillis dans le cadre d’une enquête Ifop réalisés pour Arpavie. En tout et pour tout 59% des sondés (dont un sur deux est âgé de 50 ans au moins) l’imaginent située en centre-ville. Ils sont autant à vouloir qu’elle propose au moins deux pièces, pour un coût mensuel inférieur à 1 500 euros d’après 66% d’entre eux.
Le prix, il faut le préciser, constitue le premier critère de choix pour 62% des individus interrogés. 64% d’entre eux estiment la présence d’un personnel “gentil et bienveillant” nécessaire.
Vieillir chez soi, est-ce encore possible ?
Pour autant, une écrasante majorité des Françaises et des Français souhaitent vieillir chez eux, pointe le magazine spécialisé en économie. Mais c’est là quelque chose de complexe, qui nécessite une préparation conséquente… Que n’anticipe qu’une petite minorité des sondés.
40% d’entre eux adaptent en effet leur logement et 38% demeurent persuadés qu’il leur faudra quitter leur domicile. Ils souhaitent donc retrouver une résidence proche d’un hôpital (51%), mais aussi à proximité des leurs (37%) ou un logement d’ores et déjà adapté à leur situation (28%), souligne le titre de presse.