De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Emmanuel Macron a récemment prévenu qu’il allait révolutionner la communication présidentielle. Par la voix du porte-parole de la République en Marche, il a en effet annoncé sur Radio J dimanche que la parole présidentielle allait se "raréfier" et que les "mauvaises habitudes" de ses prédécesseurs Nicolas Sarkozy et François Hollande étaient terminées. Fini donc "la multiplication des offs, des prises de parole sans doute intempestives (…) qui répondent à une forme de dictature de l’urgence", a précisé Benjamin Griveaux, ajoutant que le nouveau chef de l’Etat entendait bien "rester le maître des horloges".
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"Les journalistes ont scié la branche sur laquelle ils étaient assis"
Une décision qui n’a pas échappé à François Hollande, et que ce dernier ne s’est pas privé de commenter en coulisses. En effet, bien loin des sourires et de la proximité affichés lors de la passation de pouvoir avec son successeur, l’ex-locataire de l’Elysée s’est laissé aller à faire quelques critiques, rapporte cette semaine Le Canard Enchaîné. Selon un article repéré par Le Lab, le socialiste aurait déclaré : "On a dit que je parlais trop à la presse, que je faisais trop de off. Mais en faisant ce procès, les journalistes ont scié la branche sur laquelle ils étaient assis". Et le socialiste de prévenir : "Vous verrez, les journalistes me regretteront bientôt".
En vidéo - Premier Conseil des ministres avec une communication contrôlée