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Même si ce thème nauséeux est devenu un sujet de discorde entre lui et les hautes sphères du FN, Jean-Marie Le Pen persiste et signe dans sa logorrhée conspirationniste liée aux attentats de Paris. Cette fois, ce n’est pas par l’intermédiaire d’un tabloïd russe que sa dernière saillie complotiste est venue mais par des propos tenus devant des militants dimanche 25 janvier à l’occasion de la galette des rois.
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"Je ne suis pas naïf"
Selon ses propos rapportés par Le Monde ce lundi, le fondateur du Front National n’en démord pas. Dans son esprit il s’agit bien d’un coup monté. "La mise en place de la réaction politico-médiatique fut si rapide qu’il ne peut pas y avoir d’improvisation. Un plan média était préparé à l’avance" a-t-il affirmé avant de détailler les éléments qui viendraient confirmer sa théorie.
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"On peut neutraliser les gens avec des grenades soporifiques (…). Je ne suis pas naïf" a ajouté le candidat aux régionales en PACA, laissant entendre que les terroristes auraient exécutés sur ordre. Par ailleurs, il estime que ces terroristes étaient "membres d’une organisation secrète". Autre zone d’ombre selon lui, le nombre de manifestants lors de marche du 11 janvier qui selon lui a été "exagéré". Enfin, Jean-Marie Le Pen a également déclaré : "si ce massacre avait eu lieu à Valeurs Actuelles, il n’y aurait pas eu cette mobilisation générale".
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