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INTERVIEW. Noëlle Châtelet, écrivaine et présidente de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), se confie le suicide de sa mère mais également sur son combat sur le droit à mourir.
Elle a parlé en tant que femme d’expérience. Cécilia Attias n’est certes pas restée longtemps à l’Elysée en tant que Première dame – elle s’est séparée de Nicolas Sarkozy quelques mois après son élection en 2007 – mais elle y est toutefois restée suffisamment longtemps pour pouvoir parler de ce statut en connaissance de cause. Ainsi, alors qu’elle était mercredi l’invitée de RTL, elle n’a pas manqué de donner son avis sur le statut de Première dame qui se retrouve actuellement au cœur d’un vif débat en France. La prétendue relation qu’entretiendrait le président François Hollande et l’actrice Julie Gayet a en effet braqué les projecteurs sur la situation de Valérie Trierweiler, la compagne du chef de l’Etat.
"Comment peut-on dire qu’une Première dame ne peut pas exister ?", s’est interrogée Cécilia Attias. Défendant le fait que la compagne du président doit prendre part aux activités officielles du ce dernier, elle a poursuivi en appelant à clarifier le statut de Première dame. On ne peut pas gommer le conjoint (…) On ne peut pas lui demander uniquement de placer des fleurs sur des buffets. Ou alors, il faut élire des présidents célibataires !", a-t-elle lâché avant de souligner l’importance de laisser à chacune des épouses ou compagnes la liberté de définir son champ d’action. "Cette fonction doit être déterminée et après il faut laisser libre choix. Si une femme veut s’investir dans la fonction ou si elle préfère continuer son métier, à elle de le faire", a-t-elle estimé.
Alors que Valérie Trierweiler est hospitalisée depuis près d’une semaine à Paris, "choquée" et victime d’un gros coup de blues après les révélations de Closer la semaine dernière, Cécilia Attias n’a pas manqué d'indiquer qu'elle a "une pensée particulière pour elle". Et l’ex-épouse de Nicolas Sarkozy d’ajouter : "Tout ce que je souhaite, c’est qu’on laisse aux gens leur vie privée et le plus de discrétion autour de leur vie privée, et vivre leur histoire le plus discrètement et de la manière la plus apaisée possible".
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