La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Ségolène Royal a voulu rester mystérieuse. Invitée de l’émission "Punchline" dimanche sur C8, la ministre de l’Ecologie a préféré jouer la carte des sous-entendus. Face à Laurence Ferrari qui lui demander quel candidat de la gauche elle allait soutenir pour la primaire, la socialiste a en effet botté en touche en répondant : "Je m’impliquerai forcément dans la campagne (…) De quelle façon et (pour) qui, je ne sais pas encore (…) Rien n’est fermé".
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"Il amène de l’air à la vie politique"
Puis, et toujours avec le même air mystérieux, Ségolène Royal a évoqué son ancien collègue Emmanuel Macron. "Il fait un effort sur comment penser l’avenir de la France dans un monde qui bouge", a-t-elle vanté. C’est quelqu’un qui "amène de l’air à la vie politique", a-t-elle encore ajouté, sans jamais dévoiler ses intentions. Et alors que le meeting qu’il a organisé le weekend dernier a été moqué, notamment à cause de son envolée finale, la ministre n’a pas hésité à prendre sa défense. "Il faut comprendre, je pense, l’ambiance d’un meeting, la fin d’un meeting. Cela ne sert à rien de dénigrer, de moquer", a-t-elle jugé.
Mais si la ministre de l’Ecologie ne tarit pas d’éloges à propos de l’ex-banquier d’affaires, son discours est en revanche plus sombre lorsqu’il s’agit de son ancien chef au gouvernement. Interrogée sur la récente candidature de Manuel Valls, Ségolène Royal a en effet fait le choix de souligner les nombreux désaccords qu’ils ont eus, notamment "sur les choix écologiques", "sur la vision du futur" et même "sur la conception de la gouvernance".
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