De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
La prime aux sortants ? Une chose est sûre : au lendemain du second tour du scrutin régional, le grand perdant est facile à identifier ! Le président de la République essuie en effet sa troisième gifle (électorale, cette fois) depuis le début de son quinquennat. Marine Le Pen, qui a longtemps revendiqué pour le Rassemblement national le titre de première formation politique de France, fait elle aussi face à un échec cuisant. Elle ne parvient à s’implanter nulle part, en dépit pourtant de son bon démarrage en Provence-Alpes-Côte d’Azur.
Plus de détails à ce propos dans notre diaporama, qui dresse la liste des grands gagnants des régionales… Qui, à l’avenir, présidera votre région ?
Dorénavant, note Le Figaro, c’est à la droite de revendiquer le plus grand nombre de suffrages exprimés. A échelle nationale, la famille politique de Nicolas Sarkozy peut tout de même se vanter d’avoir récolté 38 % des voix. Elle est talonnée par l’union des gauches françaises qui, associées aux forces écologistes, affichent un solide 34,5 % des bulletins de vote ; à échelon de la France entière. A en croire, du moins, l’institut Ifop-Fiducial, dont les calculs réalisés pour LCI/TF1 permettent d'arriver à de tels résultats.
Élections régionales : qui est le premier parti de France ?
Pourtant, comme à l’issue du premier tour, il apparaît complexe d’ignorer la composante essentielle de ces élections : l’abstention. D’aucuns pourraient même être tentés d’arguer que c’est elle qui remporte, et de loin, le scrutin. C’est, en tout cas, ce qu’affirme Le Parisien, qui rappelle que certains des élus arrivés en tête avec une majorité absolue n’ont réunis en vérité… que 20 et quelques pourcents des voix totales de la région.