Ce lundi 25 novembre est celui de la journée internationale de lutte contre la violence faite aux femmes. Zoom sur The Sorority, cette application réservée aux femmes et aux minorités de genre qui propose de leur...
les premiers pas de Valérie Trierweiler sous le feu des projecteurs ne se sont pas toujours déroulés sans embuches. La Première dame n’a pas toujours eu bonne presse aux yeux des Français, qui ont encore en mémoire l’affaire du « tweetgate », et qui lui reprochent aussi souvent une attitude agressive ou encore une certaine jalousie mal dissimulée à l’égard de Ségolène Royal.
Un style qu’elle ne se laisse pas dicter
L’interview que Valérie Trierweiler a accordée au Nouvel Observateur, en kiosques depuis le 17 juillet, risque de ne pas forcément arranger les choses. La compagne de François Hollande y confie s’inspirer du style de Danielle Mitterrand, plutôt que de celui de Cécilia Attias. « Tout ce je fais, je le fais par moi-même » explique-t-elle, une référence sans doute à l’affaire des infirmières bulgares, où l’épouse de Nicolas Sarkozy avait été envoyée spéciale en Lybie en 2007 pour aider à faire libérer les cinq infirmières bulgares retenues depuis 1999. Valérie Trierweiler consacre d’ailleurs de plus en plus de temps à des actions caritatives, et à son rôle d’ambassadrice de l’association France Libertés, une association créée par l’ancienne épouse de François Mitterrand.
« Je ne l’aime pas, alors j’ai refusé »
Le Nouvel Observateur évoque également l’influence « discrète mais réelle » qu’exerce visiblement la Première dame. Ce qui motiverait certains ministres à vouloir se rapprocher d’elle. Mais Valérie Trierweiler entend bien rester maîtresse de l’identité des personnes qui gravitent dans son entourage. « Un ministre du gouvernement voulait absolument que je l’admette dans ma délégation lors d’un déplacement présidentiel. Mais je ne l’aime pas, alors j’ai refusé » indique Valérie Trierweiler. Le style Trierweiler, tranché, net, sans détours.