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S’il a récemment intégré le gouvernement socialiste au poste de ministre de l’Economie, Emmanuel Macron aurait pu rejoindre le camp adverse en 2010 alors que l’UMP était au pouvoir. L’ex-banquier d’affaires de 36 ans avait en effet eu l'occasion de devenir le bras droit du Premier ministre d’alors : François Fillon.
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Selon Closer.mag, le poste de directeur adjoint du cabinet du Premier ministre de Nicolas Sarkozy a été proposé à Emmanuel Macron par Antoine Gosset-Grainville, qui quittait alors ses fonctions.A cette époque, le ministre de l’Economie exerçait au sein de Rothchild&Cie, et sa carrière semblait prometteuse puisqu’il venait d’être promu associé au sein de l’établissement.
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A la surprise générale, le banquier de gauche avait décliné l’offre, expliquant qu’il ne se reconnaissait pas dans la politique menée par l’ex-chef d’Etat.Pourtant, à peine entré au gouvernement, le nouveau ministre avait évoqué l’idée de revoir la règle des 35 heures. Or, François Fillon s’est fait un plaisir de rappeler sur BFMTV que cette idée est également celle de l’homme de droite qu’il est.
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"Si on nous proposait, sans condition, de soumettre au vote des salariés le temps de travail dans les entreprises, je voterais sans hésitation", a-t-il affirmé sur la chaîne d’information en continu.Et d’enfoncer le clou : "ce que propose Emmanuel Macron, et ce que je propose aussi, c’est de renvoyer à la négociation dans l’entreprise la fixation du temps de travail".
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