La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Ce document "ne devait pas se retrouver dans la presse", a déclaré Jean-Christophe Cambadélis. Alors que la polémique enfle autour du texte du Parti socialiste prônant "l’affrontement démocratique" avec Berlin, le secrétaire national du PS aux questions européennes ne décolère pas. Invité de LCI ce lundi matin, il a en effet annoncé qu’il avait l’intention de demander la suspension de celui ou celle qui a fait circuler le document. Selon lui, ce "brouillon écrit à plusieurs mains" contenait, certes, "toute une série de formules énoncées dans le PS depuis plusieurs semaines" à propos de la politique d’Angela Merkel mais n’avait absolument pas vocation à sortir des murs du parti. "Si nous retrouvons celui qui a fourni ce texte à la presse, je demanderai qu’il soit suspendu du PS", a ainsi prévenu le député de Paris. Dans ce document, la dirigeante allemande est notamment qualifiée de "chancelière de l’austérité" et accusé "d’intransigeance égoïste".
Il ne s’agit pas d’une "stigmatisation de telle ou telle personne"
Et alors que le texte PS sur l’Europe doit être soumis mardi au bureau national du parti, Jean-Christophe Cambadélis, qui soutien ce texte, a tenu à réaffirmer qu’ "il s'agit d'un combat politique (ndlr : contre la droite en Europe), pas d'une stigmatisation de telle ou telle personne". Le secrétaire national du PS a par ailleurs assuré que "toutes les références à Merkel ont été gommées" du texte et qu’il ne reste que "l’allusion au couple ‘Merkozy’, le désaccord avec la droite allemande et les références au combat contre le PPE (ndlr : le Parti populaire européen)".