La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Depuis le congrès fondateur des Républicains, samedi dernier, Alain Juppé et Nicolas Sarkozy se livre une guerre de tranchée, avec en toile de fond, les primaires pour la présidentielle de 2017.
Pendant le meeting, lors de son discours fleuve, Nicolas Sarkozy n’avait pas manqué d’étriller la politique du président François Hollande en des termes incisifs. Ainsi avait-il attaqué la "médiocrité" de l’équipe gouvernementale socialiste. "La gauche ne respecte pas la République, elle la trahit par le coup de force permanent, parce qu'elle pense qu'avoir la majorité lui donne tous les droits sans aucune exception.", avait-il surenchéri.
"Je pense qu'il faut faire preuve d'ouverture d'esprit"
Une déclaration qu’Alain Juppé n’a pas appréciée puisqu’il a déclaré après ce congrès : "On est pas obligé de traîner ses adversaires dans la boue pour critiquer les projets qu’on considère comme inadaptés."
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Il a également dit à la presse, avant son conseil municipal à la mairie de Bordeaux, que son parti ne devrait pas se "bunkeriser dans des thèses trop renfermées sur elles-mêmes, trop sectaires."
"Je pense qu'il faut faire preuve d'ouverture d'esprit, ce qui ne m'amène pas à être tendre avec les réformes du gouvernement", a-t-il encore fait entendre.
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