Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
Il y a les comparaisons qui apparaissent naturelles… et celles qui le sont moins. En 2007, Nicolas Sarkozy s’essayait à l’une de la deuxième catégorie. Encore candidat à l’élection présidentielle à l’époque, il craignait la soudaine montée d’un certain François Bayrou, représentant alors les idées du centre politique. Celui-ci grimpait tout de même à 24% des intentions de votes dès la première semaine du mois de mars, rappelle le magazine people Gala sur son site internet. Pas encore de quoi terroriser l’ancien ministre de Jacques Chirac, mais tout de même assez pour empiéter sur sa zone de sûreté et de confort.
Nicolas Sarkozy commence donc à multiplier les plateaux télévisés, dans l’espoir d’atténuer la dureté de l’image qu’il affiche devant les Françaises et les Français. Il s’agit aussi de mettre en avant sa proposition “choc” d’alors : l’instauration d’un ministère de l’Immigration et de l’Identité nationale, ce qu’il annonce sur le plateau de l’émission politique A vous de Juger, diffusée chez France 2. Cependant le futur chef de l’Etat ne goûte que peu aux suggestions de ses conseillers…
Nicolas Sarkozy : quand il se comparait à Rocco Siffredi
Pour illustrer son mécontentement, Nicolas Sarkozy n’hésite donc pas à se comparer à… Rocco Siffredi, un ancien acteur pornographique parmi les plus célèbres. "On me fait faire des émissions pour me rendre sympathique, mais ce n'est pas forcément ce que les Français attendent de moi. Ils s'en moquent, les Français, que je sois sympathique ! Ils veulent que je fasse le job. Est-ce qu'on demande à Rocco Siffredi d'avoir des sentiments ? Est-ce qu'on attend de lui des mots d'amour ? Non mais je m'excuse d'être vulgaire : Siffredi, son truc, c'est pas la bluette", s’est en effet agacé le président à venir.